Evaluation des stratégies métacognitives par le Dr Eric Brunet-Gouet – Versailles

Évaluation des Stratégies Métacognitives: De la théorie aux questions pratiques.

A l’occasion de la dixième journée du C3RP, Dr Éric Brunet-Gouet nous parle de « Évaluation des Stratégies Métacognitives: De la théorie aux questions pratiques ».

(1-3)Évaluation des Stratégies Métacognitives: De la théorie aux questions pratiques

[…]La méta cognition autant que analyse de soi même et regard sur son propre fonctionnement cognitif, logiquement, doit intervenir dans notre capacité à déterminer nos propres troubles, nos propres incapacités, nos propres symptômes. Mais c’est une question compliquée. J’y reviendrai un peu après. Ça touche. L’empathie pour certains, d’ailleurs, beaucoup de chercheurs mélangent un peu le concept de cognition sociale et de méta cognition. On ne sait pas trop de quoi ils parlent finalement, et la méta cognition, pour eux, est une forme de cognition sur les états mentaux. Ça va jusqu’à la théorie de l’esprit et donc ça rend la littérature un peu compliquée.[…]

(4-6) L’incompétence à évaluer l’incompétence

(7-8) Enjeux méthodologiques

(9-10) Hétéro-évaluation : Metacognition Assessement Scale (MAS)

(11-12) Beck Cognitive Insight Scale (BCIS)

(13) Mesures s’appuyant sur des tests neuropsychologiques

(14) Mesures « directes »

(15) Approche « neurosciences »

(16-18) Rôle fonctionnel de la métacognition dans la pathologie: Exemple de la schizophrénie

[…]Vous avez des exemples de perception visuelle, de la motricité, de l’électro physiologie et même des électrodes implantées dans le cerveau. Vous avez des recherches vraiment fantastiques si vous vous intéressez à ce sujet. Dans la schizophrénie, à quoi ça peut servir la méta cognition?[…]

(19-22) La métacognition médiatrice entre neurocognition & Outcomes

(24-26) Détour par la question de l’insight dans la schizophrénie

(33-39) Evaluer les corrélats de la qualité de vie dans la schizophrénie

(40-46) De la métacognition aux stratégies métacognitives

[…]J’appellerais du subjectif qui va souvent ensemble, c’est à dire qu’il y a le côté positif, négatif, la dépression, l’insight, au sens plus ou moins, donc ambivalent ou plus compliqué. Et puis dedans, on peut mettre toutes les échelles qui sont celles du rétablissement de la qualité de vie. Donc tout ça, y compris avec les stratégies méta cognitives quand c’est le sujet qui les auto évaluent, va sans doute bouger ensemble.[…]